lundi 22 novembre 2010

Abandon

Depuis un moment (plus d'un an !), j'ai abandonné l'animation ce blog. Entre-temps, j'ai ouvert un autre avec d'autres ambitions. Néanmoins, je réagirai à tout commentaire laissé par les internautes.

A bientôt

jeudi 22 octobre 2009

Le Togo épargné par les changements climatiques ?

Je n'en crois pas à mes yeux. Mais l'information est pourtant vraie, six villes de la côte ouest-africaine sont menacées par les changements climatiques. Information mise sur la place publique par Dr Ludovic de Lys, de l'Organisation des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (OCHA), auteur d'un rapport intitulé "Changements climatiques : le défi pour l'Afrique de l'Ouest".

Ces six villes figurent dans le non prestigieux Top 20 des villes les plus vulnérables aux changements climatiques dans le monde.

Retenez votre souffle : De l'Ouest vers l'Est, il s'agit de : Dakar (Sénégal), Conakry (Guinée), Monrovia (Libéria), Abidjan (Côte d'Ivoire), Cotonou (Bénin) et Lagos (Nigéria). Ouf, le Togo est donc épargné ?!

Oui le Togo n'est pas plus vulnérable que les 20. Mais il l'est face aux changements climatiques dont les facteurs sont la rareté des ressources en eau et des pluies, l'exposition très forte aux phénomènes météorologiques, la disparition des écosystèmes, la sécheresse, les conflits et les catastrophes écologiques.

Au moins 4 de ces 6 facteurs sont observables au Togo. Il suffit pour s'en convaincre de faire un tour à Aného, à 45 kilomètres de Lomé. La mer avance à grands pas. Les cocoteraies (fierté d'antan !) s'amenuisent comme une peau de chagrin. Et si rien n'est fait pour contrer l'érosion côtière qui ne date pas d'aujourd'hui, la carte du Togo devra être redessinée dans quelques années. Je me demande si cela n'a pas eu lieu une fois, puisqu'une route asphaltée longeant la côte a été déjà engloutie par la mer. La seconde se situe à quelques mètres des flots, nous en sommes à la troisième.

Source : http://bit.ly/2R4qvp

jeudi 15 octobre 2009

Agir maintenant

Aujourd'hui c'est le Blog Action Day et cette année, les blogueurs engagés vont épiloguer sur les changements climatiques. Cette publication participe de cette mobilisation planétaire : 155 pays dans le monde, dont le minuscule Togo. Si je me saisis de mon clavier ce matin, ce n'est pas pour passer la pommade (C'est mon habitude dites-vous !).

Les changements climatiques menacent le monde mais face à ce fléau, nous ne sommes pas logés à la même enseigne. Il est clair comme l'eau de roche que la planète se réchauffe et cela a des conséquences dramatiques ici et là. La montée du niveau de la mer et sa progression sur les terres, l'assèchement des nappes phréatiques et partant la raréfaction des ressources hydriques.

Qui en sont les principaux responsables ?
Les pays du Nord sont les plus gros émetteurs de gaz à effet de serre, les plus gros pollueurs pour s'exprimer vulgairement. Ce sont eux donc les responsables. Or, ce sont les pays du Sud qui subissent le plus les conséquences de leurs actes. Et c'est aussi ces pays qui ont moins de moyens financiers pour faire face aux cataclysmes récurrents : inondation, sécheresse, ...

Dans ces conditions, les pays du Sud doivent se lever comme un seul homme et obliger les dirigeants du Nord à prendre des engagements clairs pour la réduction des émissions de dioxyde de carbone et autres polluants et à agir en conséquence. Le temps n'est plus aux discours mais aux actes. Et c'est à l'aune de ces actes qu'on évaluera la prise de conscience des uns et des autres.

Deux petits font un grand...
Parlant de prise de conscience, permettez-moi de pointer du doigt une réalité qui ne dédouane pas du tout l'Afrique. C'est l'insouciance dont font preuve certaines personnes dans leur rapport à l'environnement. Le déboisement anarchique et, en amont, des politiques publiques qui ne promeuvent pas l'utilisation d'énergies renouvelables.

Comme je concluais, il y a quelques années, ma dissertation de maîtrise, les problèmes sont réels, les solutions sont connues. Il ne reste qu'à agir dans le bon sens.

jeudi 3 septembre 2009

Une pagaille dénommée le LMD

Hier et aujourd'hui, j'ai fait deux terribles découvertes que je pourrai faire breveter au Bureau des Droits d'Auteur. Trêve d'ironie parce que ce n'est pas drôle, ce que je vais vous raconter.

Un tour au Décanat, l'autre jour, et j'ai eu le plaisir de revoir mes étudiants massés devant le Secrétariat de notre département. Depuis la fin des cours,je ne les avais plus revus en aussi grand nombre. Que faisaient-ils là ce 2 septembre devant le Secrétariat du Département ?

"Nous sommes venus déposer une demande de réclamation", me confia l'une d'entre eux. Réclamation, repris-je, éberlué par ce que j'entends. C'est alors que mon interlocutrice poursuivit en ces termes "Sur les 21 unités d'enseignement de l'année, je n'ai éliminé que 12, il en reste 9. Monsieur, savez-vous comment va-t-on calculer les moyennes ? Je ne sais si j'ai réussi ou pas. Je fais une réclamation parce que les gens le font".

Une réclamation dans une unité d'enseignement coûte la modique somme de 1.000 francs. Imaginez combien mon étudiante devra débourser et combien devront débourser ce qui ont des contentieux dans 10 à 15 unités d'enseignement.

Ce matin, retour au Décanat et rencontre d'un de mes anciens profs. "Quand on veut lancer une fusée, il faut procéder à des tests et c'est quand on est sûr de son coup que le lancement a lieu. Dans le cas du LMD, la fusée est déjà lancée et on ne peut plus revenir en arrière".

En conclusion, ce qui s'organise est ni plus ni moins une pagaille. Et les responsables de cette pagaille se reconnaîtront à travers leurs œuvres !

Source de l'image : IFT-MADAGASCAR

mardi 1 septembre 2009

Devenez rédacteur web à domicile en Afrique

Vous maîtrisez le Français, vous avez de l'imagination, vous avez des facultés en rédaction, Objectif Clic a du travail à vous donner !

A votre domicile vous aurez en charge l'écriture des textes sur des sujets et des documentations données.

Le principe est simple : En début de semaine vous commandez via notre site un certain nombre de textes à faire, nous vous retournerons en téléchargement une série de sujets avec de la documentation, vous avez la semaine pour les rédiger et nous les livrer, tout se passe directement sur notre site, de façon rapide et simple.

Votre salaire variera de 2,5 à 5 Francs CFA par mots (0.4~0.8c€) selon la qualité de vos rédactions et de vos performances. Un texte d'une page 1/2 vous rapportera au minimum 1250 Francs CFA et jusqu'à 2500 Francs CFA selon la qualité de ce dernier, nous évaluons votre niveau en corrigeant vos rédactions .

Le montant de vos honoraires sera au choix :

* Viré tous les mois sur votre compte bancaire
* Payé via une carte prépayée Ikobo *
* A disposition dans une agence MoneyGram *

(* frais à votre charge)

Lire l'intégralité de l'offre d'emploi ici.